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Être propriétaire à vichy

31 octobre 2014

Maison 128 m2 sur terrain 968 m2 à PESSAT VILLENEUVE ( 30 mn de vichy)

Agréable villa de 128 m2 sur terrain plat de 968 m2 située à PESSAT-VILLENEUVE proche Riom ( 8mn).Construction traditionnelle en parfait état complètement rénovée en 1991.Exposée SUD -EST,très lumineuse, elle est constituée d'une cuisine équipée de 11 m2, d'une grande salle à manger de 29 m2, d'un salon de 17 m2, un bureau de 10 m2, 2 chambres de 12 m2, une chambre de 9 m2. Grenier aménageable 75 m2 grande salle de bain de 9 m2. Garage 3 voitures 40 m2, cave climatisée. Chauffage gaz , fenêtre double vitrage,agréable jardin avec terrasse .Pas de travaux à prévoir.

Gateway immobilier

Sophie BELOT

Consultant immobilier indépendant

port 07 61 40 57 77

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Tél 09 70 406 309

mail contact@gateway-immobilier.fr

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18 mars 2014

Comment vendre vite au bon prix

Immobilier : comment vendre vite et au bon prix

Par Enquête : Marie Pellefigue pour VotreArgent.fr, publié le 06/02/2014 à 11:55

Un projet de cession ? Passez vite à l'action avant que la chute des prix ne s'aggrave. Nos conseils pour boucler votre transaction efficacement. 

Immobilier : comment vendre vite et au bon prix

Maison location

Getty Images/iStockphoto

Y a-t-il encore un acheteur dans la salle ? Les acquéreurs d'immobilier se raréfient. En 2012, le nombre de ventes de logements a baissé de 20 à 40 % selon les régions. Et les prix ont entamé leur décrue. Aujourd'hui, plus aucun secteur géographique ne résiste à ce retournement de cycle. Même Paris, qui faisait jusque-là figure d'exception, affiche un recul des tarifs de 3,9 % l'an passé.  

Crainte de l'avenir chez les acheteurs, robinet du crédit ne coulant plus à flot chez les banques, prix élevés... De nombreux facteurs expliquent cette tendance sur le marché de la pierre. Pour le moment, seul le très bas niveau des taux de crédit permet de soutenir les ventes et d'éviter une franche dégringolade des prix. Mais jusqu'à quand ? Dès lors, si vous avez un bien immobilier à vendre, c'est le moment d'accélérer sa mise sur le marché avant qu'il ne perde trop de valeur. D'autant que, si vous signez votre transaction avant le 31 août, vous bénéficierez d'un abattement exceptionnel de 25 % sur les plus-values (Voir ci-dessous). 

Signez avant fin août !

Abattement exceptionnel : à condition d'avoir signé l'acte de vente avant le 31 août, vous bénéficierez d'un abattement exceptionnel de 25 % sur la plus-value pour l'impôt ainsi que sur les prélèvements sociaux. Il s'applique après les abattements normaux pour durée de détention décrits ci-après. /Para  

Impôt : la plus-value sur un bien immobilier autre que votre résidence principale supporte un impôt de 19 %. Si elle est supérieure à 50 000 euros, s'y ajoute une surtaxe de 2 à 6 %. De la plus-value, on déduit un abattement pour durée de détention, de 6 % par an entre la 6e et la 21e année de détention, puis de 4 % la 22e année. D'où une exonération totale au bout de 22 ans.  

Prélèvements sociaux : ils sont dus au taux global de 15,5 %. Ils se calculent sur la plus-value diminuée d'un abattement pour durée de détention, de 1,65 % par an de la 6e à la 21e année de détention, puis de 1,6 % la 22e année, et de 9 % par an entre la 23e et la 30e année. D'où une exonération totale au bout de 30 ans. 

Avec des transactions orientées à la baisse, inutile de fixer un prix élevé en espérant que le marché s'aligne sur vos prétentions. " Un bien mis en vente trop cher n'est pas visité, et dans six mois il sera encore plus cher par rapport au marché, il perdra donc toute chance d'être vendu ", souligne Laurent Vimont, directeur de Century 21 France. Pour trouver le juste prix de mise en vente, procédez par étapes. Consultez les numéros "spécial immobilier " de Mieux Vivre Votre Argent pour avoir une idée du prix moyen dans votre ville. Puis faites un tour sur Internet où des sites comme MeilleursAgents.com, par exemple, permettent d'évaluer les prix en direct. Attention, il ne s'agit que d'un indicateur, qui doit impérativement être affiné par un regard professionnel. " Au sein d'un même immeuble, les différences de tarifs atteignent jusqu'à 40 % entre l'appartement lumineux du dernier étage avec balcon et vue, et le rez-de-chaussée sombre et bruyant ", précise Sébastien de Lafond, président de MeilleursAgents.com.  

Recueillez des informations auprès de plusieurs agences

Une fois que vous avez obtenu une fourchette de prix, contactez plusieurs agences. Ne cédez pas aux sirènes du professionnel qui vanterait les mérites de votre bien et occulterait tout défaut uniquement dans le but que vous lui en confiiez la vente.  

Sachez que les logements d'exception (bien orientés, calmes, lumineux, en bon état, dans une copropriété de standing...) représentent moins de 5 % du marché. Il y a donc peu de chances que le vôtre soit considéré comme tel ! Au cours du rendez-vous avec ce professionnel, exigez des références de ventes récentes de biens similaires au vôtre dans le secteur. Et demandez-lui si votre logement fait partie de ceux qui sont très recherchés ou pas.  

Témoignage - " Après sept mois, nous avons cédé l'appartement avec moins 15 % "

J'ai hérité avec d'autres membres de ma famille d'un bel appartement parisien de 73 m2 dans le très cher VIe arrondissement. Deux agences l'ont estimé 940 000 euros. Nous leur avons confié la vente en coexclusivité, en mai dernier, témoigne Odile E. Le marché parisien était en train de s'essouffler... il y a eu peu de visites. Le 15 juin, nous avons accepté une baisse de prix de 5 % pour attirer les acheteurs.  

Elle a sans doute été trop faible, nous avons alors décidé de vendre l'appartement sans le parking pour rendre le prix plus attrayant. Mais nous avons encore dû baisser notre prix en août et l'avons finalement vendu au bout de sept mois 800 000 euros, soit une décote d'environ 15 % par rapport au prix d'origine. Le parking a été vendu seul 40 000 euros. 

Muni de toutes ces informations, vous pourrez fixer, en toute objectivité, votre prix de mise en vente. Ne le surestimez pas. C'est humain que le propriétaire ajoute une " valeur affective ". Mais aucun acquéreur n'intégrera ladite valeur dans son analyse ! " Chaque défaut se paie aujourd'hui via une décote sur le prix moyen ", indique Philippe Descampiaux, gérant des agences Descampiaux à Lille. Des exemples ? Un appartement exposé plein nord vaut 15 % de moins qu'un autre logement similaire au premier mais orienté plein sud. Ou encore un immeuble mal isolé et bruyant des années 1960 se vend de 5 à 20 % de moins que son voisin en pierre de taille.  

Une fois que vous avez fixé le prix de cession, vous pouvez choisir de vous occuper seul de la vente ou bien de passer par un professionnel. La première solution permet d'économiser des frais, mais vous devrez consacrer du temps et faire visiter de nombreuses fois avant de trouver votre acheteur. La seconde vous simplifie la vie et, à condition de miser sur des professionnels sérieux, vous permet de bénéficier de leur force de vente et de leur carnet d'adresses. Pour que la vente s'effectue le plus vite possible, motivez votre agent en signant avec lui un mandat exclusif pour une durée de trois mois. Pour empocher sa commission, il y a fort à parier qu'il se démène dans le délai. En revanche, si vous mettez plusieurs agences en concurrence, elles ne dépenseront sans doute pas autant d'énergie.  

Mettez-vous au bon tarif tout de suite

Quelle que soit l'option choisie, surveillez attentivement un indicateur : la durée de vie de votre annonce. " Il existe une relation directe et mathématique entre la durée pendant laquelle le logement est proposé à la vente et le pourcentage de décote. Plus un bien met de temps à trouver un acquéreur, plus la décote finale devra être importante ", explique Sébastien de Lafond.  

Cette durée est différente selon le type de bien et le marché où il est situé. En région parisienne ou dans les grandes agglomérations dynamiques (LyonMontpellierToulouse...), il faut compter en moyenne 70 jours pour vendre un bien. Dans les villes moyennes (AmiensBrestClermont-FerrandMetz...), tablez plutôt sur 90 à 100 jours. Enfin, dans les zones où le marché souffre davantage (campagne, troisième couronne d'agglomérations), la moyenne oscille plutôt entre 120 et 150 jours.  

Si vous n'avez pas eu d'offres d'achat très proches de votre prix dans ce délai, cela signifie que vous avez été trop gourmand. Et il faut donc ajuster vos prétentions à la baisse. Là aussi, agissez efficacement pour attirer davantage d'acheteurs. Mieux vaut baisser rapidement son prix de 5 à 10 % plutôt que d'effectuer des microbaisses tous les quinze jours.  

Rendez votre bien attractif pour les visites

Dernier conseil, qui tombe sous le sens, mais pourtant peu suivi par les vendeurs : mettez-vous dans la peau d'un acquéreur potentiel qui va pousser pour la première fois la porte de votre logement. Inutile de faire de gros travaux si la peinture est défraîchie ou la cuisine vieillotte, vous ne retrouverez pas votre mise, et surtout vous risquez d'adopter une décoration neuve pas forcément du goût de l'acheteur. 

En revanche, effectuez impérativement les petites réparations : une prise électrique mal fixée, un carreau de salle de bains descellé ou une vitre fêlée seront remarqués par un acheteur qui aussitôt minorera son estimation de prix. Ensuite, dépersonnalisez votre intérieur et allégez votre décoration. Faites disparaître les photos de mariage, remisez les gros meubles de famille au garde-meubles et supprimez la plupart des bibelots des étagères. Le but ? Séduire les acheteurs potentiels pour qu'ils puissent s'imaginer chez eux sans être étouffés par vos souvenirs. Enfin, rangez et nettoyez votre logement avant chaque visite. Il est dissuasif pour l'acheteur de découvrir une salle de bains douteuse, une cuisine avec de la vaisselle dans l'évier ou une chambre où des vêtements sont entassés sur une chaise. " Pourtant, c'est relativement courant. C'est dommage, car les propriétaires très soigneux ont quatre fois plus de chances de vendre leur logement ", remarque Philippe Descampiaux.  

Témoignage - " Nous avons vendu en deux heures à notre prix "

Nous avons vendu début décembre un quatre pièces moderne de 88 m2 avec terrasses et vue dégagée sur la Garonne, à Bordeaux, raconte Jean M. Nous avons fait une estimation en ligne sur un site d'annonces immobilières, qui correspondait à notre idée du marché, soit 336 000 euros. C'était visiblement le prix juste, car l'agence que nous avons sélectionnée pour la vente a pioché dans son fichier de clients avant de faire la moindre publicité. Elle a immédiatement emmené une cliente pour une visite et cette dernière a eu le coup de foudre. Elle a fait une proposition au prix demandé et notre appartement a été vendu en deux heures. 

2 mars 2014

Vers une stabilisation des prix dans l'ancien en 2014.

Immobilier : vers une stabilisation des prix dans l'ancien en 2014 

Par Alexandra Boquillon pour VotreArgent.fr, publié le 28/02/2014 à 09:55

Selon les Notaires de France, les prix des logements anciens poursuivent leur lente érosion. La baisse est modérée sur l'ensemble de l'Hexagone, mais plus marquée en Ile-de-France. VotreArgent fait le point sur les marchés qui ont le plus souffert en 2013 et sur leurs perspectives d'évolution pour 2014. 

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Immobilier : vers une stabilisation des prix dans l'ancien en 2014 ?

Pour refluidifier le marché, les notaires réclament le retour du prêt à taux zéro dans l'ancien.

Getty Images/iStockphoto/JacquesPALUT

Pas d'effondrement des prix en Ile-de-France. Ni même en Province. C'est le constat que dressent les notaires français dans leur dernière note de conjoncture. Selon l'indice Notaires-INSEE, le prix des logements anciens, appartements et maisons confondus, a baissé de 1,4% en France, au 4ème trimestre 2013, par rapport au dernier trimestre 2012. Cette baisse contenue, est toutefois plus marquée en Ile-de-France avec un recul de 1,9% des prix pour les appartements anciens.  

De nombreux marchés bousculés

-4,5% à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine (8740 euros le m²), -12,5% à Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines (5280 euros le m²). Et un effondrement de -27, 5% à Saint-Denis en Seine-Saint-Denis, soit un prix médian au m² pour les appartements anciens de 2250 euros au 4ème trimestre 2013. De même, le prix médian des maisons anciennes a chuté en un an de -14,3% au Perreux-sur-Marne dans le Val-de-Marne (463 000 euros), -17,9% à Argenteuil dans le Val-d'Oise (230 000 euros) et -22,6% à Draveil dans l'Essonne (271 000 euros). 

Même constat en Province :-3% à Nice (3600 euros le m²), -3,2% à Toulon (2230 euros le m²), -8,7% à Angers (1860 euros le m²) et même -9,6% (1090 euros le m²) à Saint-Etienne ont été relevées pour les appartements anciens au dernier trimestre 2013 par rapport à 2012. " La baisse est inquiétante à Angers, explique Thierry Thomas, notaire dans la région nantaise. Cela s'explique par une construction importante de logements neufs depuis 4 ou 5 ans, ce qui a déstabilisé le marché de l'ancien ". 

Un début d'année 2014 morose

Avec 723 000 transactions enregistrées en 2013, les notaires français constatent dans leur note de conjoncture une hausse du nombre de transactions de 4,9% en fin d'année, soit une progression de 2,7% sur un an. En Ile-de-France, le nombre de ventes d'appartements anciens au 4ème trimestre 2013 a augmenté de 31% par rapport à la même période en 2012, laquelle avait connu une très faible activité. Cette tendance est encore plus marquée à Paris où les volumes de ventes ont bondi de 40 %. " Ce sursaut a permis de sauver l'année 2013 qui avait bien mal débuté ", souligne Thierry Thomas. Mais attention, "cette embellie ne doit pas laisser croire à une reprise franche et à un dynamisme retrouvé d'un marché encore marqué par une très grande fragilité et par l'attentisme des acquéreurs ", prévient Thierry Delesalle. Seul produit qui se vend très bien : " les emplacements de parking ", pointe le notaire parisien. Pour les logements, " depuis novembre, il ne se passe pas grand-chose ", révèle-t-il. " Les premiers éléments (avant-contrats, NDLR) dont nous disposons font apparaître un début d'année 2014 morose, qui incite à une prévision prudente sur une activité sans réelle direction, comprenant des périodes d'accélération et de décélération sans lendemain ", ajoute-t-il.  

Face à la crise de confiance qui domine toujours aux 4 coins de l'Hexagone, " nous souhaitons un retour du prêt à taux zéro (PTZ) dans l'ancien pour aider les primo-accédants ", clame Laurent Mompert, membre du Bureau du Conseil Supérieur du Notariat. 

Les frais de notaire vont-ils augmenter dans votre département ? Consultez notre tableau détaillé.  

Un mince espoir se profile toutefois avec la suppression de l'abattement exceptionnel de 25% accordé depuis septembre 2013 sur la plus-value réalisée lors de la vente de sa résidence secondaire. Cet avantage prenant fin le 31 août 2014, les vendeurs devraient logiquement être plus enclins à revoir leurs prétentions à la baisse afin de vendre rapidement leur bien avant la rentrée. " Ce qui pourrait apporter un peu de fluidité au marché ", espèrent les officiers ministériels. 

Ces derniers rappellent qu'accédants et investisseurs ont besoin deconfiance et de visibilité pour réaliser leurs projets. Or, " les investisseurs restent réticents à s'engager sur le marché, du fait de rendements dégradés et des contraintes réglementaires récemment renforcées " par la loi Alur. Tout comme les primo-accédants, " faute d'un système d'aide attractif ". Et ce, malgré des taux d'intérêt, pour l'instant, relativement bas


24 février 2014

CRÉDIT IMMOBILIER : LES TAUX REPARTENT À LA BAISSE (Logic immo 24 février 2014)

CRÉDIT IMMOBILIER : LES TAUX REPARTENT À LA BAISSE

credit immobilier
Observatoire Crédit Logement / CSA (janvier 2014)
 
En 2013, les taux de crédit ont atteint un record en passant sous la barre des 3 % : jamais emprunter n’avait coûté si peu cher. Même si les taux sont repartis à la hausse depuis quelques mois, ils restent pourtant encore très avantageux. Mais contre toute attente, alors que les professionnels s’attendaient à une augmentation, le dernier Observatoire Crédit Logement / CSA montre que les taux de crédit sont repartis à la baisse en janvier 2014. Une bonne nouvelle pour les futurs acheteurs… mais pour combien de temps encore ?
 
Même si la différence peut sembler minime, l’évolution des taux de crédit immobilier peut en réalité avoir un impact conséquent sur le coût de l’emprunt. Or, à l’heure où le marché de l’immobilier est encore fragilisé par la crise, une hausse des taux de crédit serait de mauvais augure pour les acheteurs. En novembre 2013, l’agence de notation Standard & Poor’s dégradait la note de la France : un coup dur, qui laissait présager une hausse des taux de crédit. Et pourtant, les derniers chiffres de l’Observatoire Crédit Logement / CSA pour janvier 2014 relèvent que le taux de crédit a baissé de 0,4 %.
 

Une nette diminution des taux

 
En avril 2013, pour la première fois, le taux de crédit passait sous la barre des 3 %  : un record historique. Depuis, on a assisté à une reprise des taux de crédit : de juin à octobre 2013, les taux ont repris 19 points de base. En décembre 2013, le taux de crédit était de 3,08 %.
 
En janvier 2014, l’Observatoire Crédit Logement / CSA constate une nouvelle baisse des taux de crédit, à 3,04 %. La baisse est plus modérée dans l’ancien (3,06 % vs. 3,08 % en décembre 2013) que dans le neuf (en baisse de -0,7 %, à 3,01 %). Le marché des travaux, avec un taux de 3,03 %, connaît également une forte baisse 
(-0,09 %) par rapport à décembre 2013.
 

Redémarrage du marché du crédit

 
En 2012, la production de crédits avait reculé de -26,4 %. Marquée par la très forte baisse des taux de crédit, 2013 aura été l’année du redémarrage du marché des crédits (avec une production en hausse de 29,7 %).
Janvier 2014 s’inscrit dans la lignée de 2013, avec une hausse de 29 % (en glissement annuel). Le nombre de prêts bancaires augmente également de 22,2 % (en glissement annuel).
 

Recul de la durée et du coût de l’emprunt

 
En janvier 2014, la durée moyenne d’emprunt est de 203 mois (soit 16,9 ans) : 32 % des prêts sont conclus pour une durée de 15 à 20 ans. 
 
Le coût de l’emprunt a également légèrement reculé : il représente en moyenne 3,79 années de revenus (contre 3,81 années pour un emprunt souscrit en décembre 2013). Une baisse à relativiser, car habituelle à cette période de l’année.
 
Pour l’instant, les professionnels de l’immobilier s’accordent à dire que les taux d’emprunt devraient remonter au 2e semestre 2014. D’ici là, les acheteurs bénéficieront encore de taux extrêmement favorables. Cette année devrait toutefois rester difficile : le manque de logements neufs, l’incertitude sur l’évolution des taux et la hausse des droits de mutation au 1er mars pourraient ralentir la production de crédit pour les mois à venir.
29 janvier 2014

Belle Villa 8 pièces 180 m2 avec piscine à Vendat

Sophie BELOT a sélectionner pour vous cette belle villa 8 pièces 180 m2 avec piscine à Vendat

 

Belle villa de caractère 8 pièces 180 m2 sur parc arboré et clos de 7 000 m2 avec piscine (10mx5m) plain pieds, 1 étage et 1 sous sol. Au rez de chaussée : 1 cuisine, 1 séjour salon, 2 chambres, 1 salle de bain, 1 WC , 1 placard. Au sous sol : 1 cuisine, 1 chambre, 1 salle d'eau, 1 WC, 1 buanderie, 1 cave, 1 garage, 1 atelier. A l'étage : 1 mezzanine, 2 chambres, 1 WC, 1 salle d'eau, 1 grenier. Le parc , trés bien entretenu, dispose d'un garage indépendant.268 000 € frais d'agence inclus performance énergétique classe énergie D , GES E

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Sophie BELOT

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18 janvier 2014

Marché immobilier : quelles tendances pour 2014 ?

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Immobilier
Marché immobilier : quelles tendances pour 2014 ?
Par Robin Massonnaud pour VotreArgent.fr, publié le 14/01/2014 à 16:14

Un volume de vente en recul et des prix en baisse : tel est le constat fait sur 2013 par le président de la FNAIM, la fédération des agents immobiliers. Et les perspectives de l'organisme pour 2014 sont plutôt sombres.
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Getty Images/iStockphoto
Un marché immobilier en recul tant au niveau des volumes que des prix, c'est le constat fait ce mardi matin par Jean-François Buet président de la FNAIM, la fédération nationale des agents immobiliers.


Pour 2013, le nombre de ventes est en effet estimé à 668 000 soit un recul de 5,1 % par rapport à l'année précédente. Cette baisse doit être nuancée car elle est contrastée selon les régions.

A Paris elle est de 12,8 % mais en Franche-Comté seulement de 1,6 %. Elle est forte en Champagne-Ardenne (-8,7 %), et en Alsace. Dans le Languedoc-Roussillon (-7,6 %), en Basse-Normandie (-7,4 %) et en Haute-Normandie (-6,8) elle s'explique notamment par la mévente des résidences secondaires.

Quant aux prix, ils reculent de 2,9 %. Ce recul est de 3,5 % pour les appartements et de 2,5 % pour les maisons. Le prix moyen est ainsi de 3 298 euros/m2 pour les appartements et de 2 106 euros/m2 pour les maisons. Les écarts demeurent toujours importants d'une région à l'autre : 1 628 €/m2 en Franche-Comté la région la moins chère de France et 5 130 €/m2 en Ile-de-France la région la plus chère.

Attentisme des acheteurs et des vendeurs
Ce contraste reste également criant d'une grande ville à l'autre. Si à Paris la moyenne des prix est 8 706 €/m2 (-3,2%) on se loge à Limoges pour 1 377 €/m2 (-5,7%).

Quant aux perspectives pour 2014 elles sont, estime Jean-François Buet, difficiles à établir. Un constat toutefois s'impose : l'attentisme des vendeurs et des acheteurs. Les premiers s'inquiètent de la fiscalité des plus-values immobilières certes devenue plus favorable mais complexe et donc difficilement compréhensible.

Les seconds hésitent à devenir propriétaire. L'augmentation constante des charges courantes, la hausse considérable des impôts locaux (+ 54,6 % pour la taxe foncière et +58,6% pour la taxe d'habitation), l'augmentation des droits de mutation et des prix toujours forts les poussent à s'interroger sur l'intérêt de devenir propriétaire, le statut de locataire présentant bien des avantages. Avantages que la loi Alur en discussion au parlement renforce au point que les investisseurs désertent le marché des biens locatifs. Ce qui explique l'échec du Duflot.

Quant au crédit, Philippe Taboret directeur général adjoint de Cafpi considère qu'après un record de taux bas en 2013 (2,90 % sur 20 ans) on devrait assister à une remontée des taux d'environ 0,20 % en 2014. En tenant compte de tous ces éléments, la FNAIM parie sur un volume de transactions en légère baisse de l'ordre de 650 000 sur toute l'année et une baisse des prix qui devrait continuer. Mais si baisse il y a il ne s'agira pas d'une dégringolade puisque pour toute la France elle ne devrait pas aller au-delà de 4 %.

 

 

8 janvier 2014

Agence Gateway immobilier à Vichy

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Gateway immobilier est une société de type SAS ayant pour objet l'activité d'agence immobilière spécialisée dans la transactions d'immeubles et de fond de commerce . La principale force de Gateway immobilier est son oranisation en réseau sans boutique traditionnelle, c'est Internet qui devient la vitrine et chaque négociateur agit ainsi au plus près de son marché et de ses clients en véritable consultant et en ayant une parfaite connaissance de son secteur géographique. Afin d'assurer une parfaite transparence des transactions, aucune sommes d'argent n'est versée avant la signature des actes chez le notaire. Une palette de service est proposée afin d'accompagner dans les meilleures conditions le futur propriétaire jusqu'à son installation dans son nouveau logement. L'ethique de l'entreprise est de préserver aussi bien les intérêts de chaque partie acheteur et vendeur, l'accompagnement des client va au delà de la signature de l'acte authentique chez le notaire.

Gateway immobilier

bureau de Vichy

Contact : Sophie BELOT

Consultant immobilier

Port: 07 61 40 57 77

09 70 406 309

mail: sbelot@ gateway-immobilier.fr

site web : 

www.gateway-immobilier.com/


7 janvier 2014

Comment investir en 2014 (MVA 7/01/14)

Immobilier : comment investir en 2014

par Marie-Dominique Dubois pour VotreArgent.fr, publié le 30/12/2013 à 16:03

La pierre est chère. Pour investir à bon escient en 2014, privilégiez les biens anciens à rénover : vous profiterez d'une décote. Et l'Etat vous aide à financer les travaux via un avantage fiscal. C'est encore plus rentable si vous comptez le louer. 

 

Immobilier : comment investir en 2014

Un bien à retaper vous revient moins cher après travaux que le même logement acheté en bon état.

Getty Images/iStockphoto

Les acheteurs de biens immobiliers choisissent l'ancien et ils ont bien raison ! En 2013, les investisseurs en quête d'un placement dans la pierre ont acheté à 74% dans l'ancien et à seulement 16% dans le neuf, selon le dernier rapport de l'observatoire deMeilleurtaux.com, courtier en crédit immobilier. Deux ans auparavant, ils étaient 38 % à se laisser tenter par un programme neuf. Pourquoi ce désamour relatif pour le neuf ? Certes, faire du neuf avec du vieux est dans l'air du temps. Preuve en est la multitude d'émissions de décoration et de home staging - la mise en valeur d'un logement pour mieux le vendre - dans nos programmes télévisés. Mais l'époque a beau être au bricolage et au recyclage, la vraie raison est le prix ! 

L'investissement locatif est plus rentable dans l'ancien 

La pierre est devenue extrêmement chère. Et l'on est loin d'assister à une véritable correction des prix, même s'ils patinent depuis deux ans. Sur un an, ils reculent de 1, 2% en Ile-de-France, de 2,1% à Paris et de 1,3% en province, avec toutefois de fortes dis­parités régionales. Les prix sont plus chers encore dans le neuf que dans l'ancien, soit de 20 à 30% plus cher. Malgré une petite baisse de 2,2% au troisième trimestre 2013, selon la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), le prix moyen dans le neuf s'établit de 3.957 euros pour un T3 jusqu'à 4.037 euros pour un T1. Outre que le neuf requiert un ticket d'entrée plus élevé que dans l'ancien, son prix écorne aujourd'hui sérieusement la rentabilité d'un investissement quand on achète avec l'intention de louer. Sans compter que, dans l'ancien, un bailleur peut fixer plus librement le montant du loyer du premier bail. Alors que ce n'est pas le cas des dispositifs d'investissement dans le neuf à incitation fiscale, tel que le régime Duflot, où les loyers sont plafonnés par zone géographique. 

Si vous êtes investisseur, vous avez tout intérêt aujourd'hui à miser sur l'ancien avec travaux. Acquérir un bien en mauvais état nécessitant des travaux vous permet de faire coup double pour booster votre rentabilité. Premier avantage : un logement à rénover vous revient moins cher qu'un bien identique en bon état. Ces logements sont moins demandés, donc moins onéreux et la marge de négociation est plus importante pour l'acheteur. Un prix de mise en vente correct tient compte du coût des travaux. ­Vigilance toutefois : leur montant n'est pas systématiquement déduit du prix de marché. "Notamment si le bien ­bénéficie d'un bon emplacement", prévient Anthony Perrat, fondateur de l'agence immobilièreUnemaisonbleue.com. Autre source d'économie, les frais de notaire, d'environ 7% du montant de la transaction dans l'ancien. Le prix des travaux y échappe. D'autant plus appréciable que ces frais devraient augmenter au printemps 2014, la part départementale pouvant être relevée de 3,8 à 4,5%. 

Des travaux déductibles de vos revenus 

Second avantage pour l'investis­seur locatif : acquérir un bien à rénover lui permet de diminuer son impôt ! Car il peut déduire le montant des travaux de ses loyers. La remise en état d'un logement ancien destiné à être loué donne à son propriétaire le droit de bénéficier du " déficit foncier classique ". En revanche, ­cette fiscalité ne s'applique pas à la location meublée non professionnelle, qui a toutefois d'autres avantages.  

Les atouts fiscaux du meublé 

Le régime fiscal du loueur en meublé non professionnel ne manque pas d'attraits. Le contribuable a deux options. Soit il opte pour le régime dit micro-BIC (bénéfices industriels et commerciaux) : les loyers sont alors imposés après un abattement de 50%. Soit il choisit le régime réel, qui permet la déduction des charges pour leur montant réel. S'ajoute dans ce cas un avantage de poids : l'amortissement du bien. C'est-à-dire que la valeur du bien est progressivement dé­duite des loyers année après année. Avec le régime réel, le loueur doit tenir un compte d'exploi­tation qu'il vaut mieux confier à un comptable. D'un côté figurent les recettes avec les loyers encaissés, de l'autre les dépenses ventilées en deux postes : les charges réelles (intérêts d'emprunt, taxe foncière, frais de copropriété et de comptabilité), et les charges comptables (amortissement du bien et des meubles). Dès lors que les dépenses excèdent les recettes, le déficit foncier est reportable uniquement sur les revenus de même nature, à savoir les BIC issus de la location. La location meublée permet parfois de déclarer un revenu locatif imposable nul jusqu'à épuisement des amortissements. Et d'obtenir, sur un horizon de vingt ans, une rentabilité maximale, en contrepartie d'une comptabilité contraignante. 

 

On parle de déficit foncier lorsque, sur une même année, les charges déductibles (frais d'agence, de copropriété, intérêts d'emprunt, dépenses de travaux de réparation, d'amélioration et d'entretien) sont supérieures aux loyers perçus. Dans ce cas, le déficit foncier créé est imputable la première année sur le revenu global dans la limite de 10.700 euros. Autrement dit, ce déficit vient réduire les autres revenus taxables (salaires, gains financiers...). L'avantage qui en découle est donc proportionnel à votre taux marginal d'imposition sur le revenu (le taux s'appliquant à la tranche la plus élevée de vos revenus imposables). Vous bénéficiez ainsi, en quelque sorte, d'une subvention de l'Etat pour les travaux réalisés dans un logement locatif. De plus, cet avantage fiscal n'est pas pris en compte pour calculer le plafond global des niches fiscales (total des avantages cumulables par foyer), raboté cette année à 10.000 euros. 

Si, à la suite de vos travaux, votre déficit foncier est supérieur à 10.700 euros la première année, l'excédent n'est pas perdu. Il est reportable sur les dix années suivantes sans limite, mais uniquement sur les revenus fonciers. "Ce mécanisme s'adresse idéalement aux investisseurs qui perçoivent déjà des revenus fonciers", précise Bertrand de Raymond, fondateur de la société Capcime, spécialisée dans l'investissement locatif ancien. Mais pas seulement à eux car, par le biais du déficit reportable sur le revenu global la première année, il peut procurer une économie substantielle sur l'impôt théoriquement dû sur les salaires. Notre simulation ci-dessous le montre. 

Comment un déficit foncier peut générer des économies d'impôts : le cas de Bérénice et Jean 

Salaires nets imposables : 45.000 euros ; logement acheté à crédit : 300.000 euros ; intérêts d'emprunt annuels : 4.000 euros ; charges diverses annuelles : 3.000 euros ; montant des travaux : 25.000 euros ; revenu foncier : loyer mensuel de 1.000 euros perçu à partir de juillet 2013, soit 6 .000 euros en 2013 et 12.000 euros les années suivantes. 

Déclaration en 2014 des revenus de 2013 

Des loyers, on soustrait d'abord les intérêts d'emprunt annuels : 6.000 - 4.000 = 2.000 euros. Puis les charges et le coût des travaux : 2.000 - 3.000 - 25.000 = - 26.000 euros. C'est ce déficit de 26.000 euros que Jean et Bérénice peuvent soustraire de leurs autres revenus, dans la limite de 10.700 euros : 45.000 - 10.700 = 34.300 euros. D'où des loyers entièrement défiscalisés et un revenu net imposable de 34.300 euros au lieu de 45.000, soit une économie d'impôt de 1.512 euros. Le déficit foncier non encore utilisé de 13.300 euros (24.000 - 10.700) est reportable en 2014. 

Déclaration en 2015 des revenus de 2014 

On déduit des loyers (12.000 euros en 2014) les intérêts d'emprunt : 12.000 - 4.000 = 8.000 euros. Puis les charges : 8.000 - 3.000 = 5.000 euros. Puis est imputé le déficit de l'an dernier non utilisé : 5.000 - 13.300 = - 8.300 euros. Le résultat est un déficit.?Les revenus locatifs sont donc exonéres, soit une économie fiscale de 700 euros pour ce couple sans enfant.?Il ne supportera l'impôt que sur ses salaires.?La part du déficit foncier non imputé, de 8.300 euros, sera reportée sur les revenus locatifs de l'année 2015. 

Déclaration en 2016 des revenus de 2015 

On soustrait des loyers, les intérêts d'emprunt puis les autres charges : 12.000 - 4.000 - 3.000 = 5.000 euros. Et enfin le déficit non encore imputé de 2014 : 5.000 - 8.300 = - 3.300 euros. Le résultat est donc de nouveau négatif.?Cette année encore, les loyers seront défiscalisés.?En 2017, sur ses loyers 2016, le couple aura encore un déficit de 3.300 euros à reporter.?En 2018, faute de déficit, nos bailleurs auront intérêt à rester au régime du réel. Ils seront imposés sur 5.000 euros de loyers (12.000 euros - 7.000 euros). S'ils optaient pour le régime microfoncier, il seraient imposés sur 8.740 euros de revenus locatifs après abattement forfaitaire de 30%. 

 

Autre précision de taille, vous devez louer le bien nu pendant trois ans à compter du 1er janvier suivant les travaux. Par exemple, si vous réalisez des travaux de juin à septembre, le décompte des trois années débute à partir du 1er janvier de l'année sui­vante. L'avantage fiscal lié au déficit foncier est aussi accessible via une nouvelle génération de SCPI

Les SCPI rénovent aussi ! 

Dans la famille des SCPI, les sociétés civiles de placement immobilier, connaissez-vous celles dites de déficit foncier ? Des SCPI "défiscalisantes". On en compte quatre sur le marché : Grand Paris Pierre gérée par Intergestion, Renovimmo de La Française REM, Renovalys 4 de Avenir Finance et Urban Pierre 2 géré par Urban Premium. Elles investissent dans des logements anciens à rénover. "Majoritairement situés en métropole secondaire comme Versailles, Strasbourg, Bordeaux, Lyon, Lille..., les immeubles sont de caractère", précise Philippe Vergine, gérant du distributeur Primaliance. Fiscalement, l'investisseur peut déduire de ses propres revenus fonciers le déficit généré par la SCPI. L'excédent éventuel est imputable sur son revenu global dans la limite de 10.700 euros. Un avantage fiscal avantageux pour les gros contribuables percevant par ailleurs des revenus locatifs. Autre point fort : un ticket d'entrée modeste pour de la pierre, à partir de 1.000 euros la part. Inconvénients : le rendement n'est pas très élevé, environ 2% par an, et le patrimoine immobilier est liquidé au terme de la SCPI avec un risque de perte en capital. 

 

Retaper un bien permet de le louer dans de bonnes conditions 

"Même pour un logement vendu en état d'usage, de menus travaux sont souvent nécessaires ", constate Patrick Chappey, fondateur deGererseul.com, plate-forme de gestion locative. A contrario, attention aux travaux non déductibles. "Ne sont pas pris en compte pour un déficit foncier les gros travaux, c'est-à-dire ceux relatifs à la structure de l'immeuble", avertit ­Pierre Nechelis, attaché de direction immobilière de l'UFF (Union financière de France). 

Outre l'aspect budgétaire, la rénovation a des vertus certaines pour l'avenir de votre location. Remettre à neuf l'électricité, installer une isolation phonique et thermique, aménager une cuisine américaine ou imaginer un éclairage new-look s'intégrant à l'architecture... autant de travaux qui séduiront les candidats locataires et réduiront ainsi le risque de vacance locative, la principale crainte de l'investisseur. 

En tout état de cause, ne vous focalisez pas seulement sur l'aspect financier de l'opération. Avant tout, choisissez une localisation où la demande locative est certaine et vous laisse espérer une valorisation du logement à long terme. Reste que les biens avec travaux ne sont pas légion. Pour les dénicher, il est essentiel de faire fonctionner le bouche-à-oreille, d'en parler auprès des agences immobilières et des études notariales. Les ventes aux enchères sont aussi un bon canal. Une fois le logement trouvé, il s'agit de bien estimer le coût des travaux, pour faire une offre réaliste au vendeur et aussi pour calculer, in fine, la rentabilité de l'investissement. N'hésitez pas à demander un devis à plusieurs entreprises tous corps de métier. Pour une rénovation complète, comptez, en moyenne, 1 000 euros du mètre carré sans toucher à la structure, autrement dit au bâti. "En cas de doute sur la qualité du bâti, si des fissures sont visibles, il est préférable de faire intervenir un architecte, sans oublier de demander les comptes rendus des assemblées générales de copropriété", conseille Damien Déjardins, fondateur de l'agence immobilière Rez-de-chaussee.com

Soyez vigilant pour le choix des artisans 

Reste ensuite à bien choisir vos artisans et à faire jouer la concurrence. A prestations égales, méfiez-vous des devis trop onéreux ou, à l'inverse, trop bon marché. Passer par des entreprises certifiées, notamment via le label Qualibat, est de nature à rassurer. "Vérifiez également que les artisans ont pignon sur rue et qu'ils sont immatriculés au répertoire des métiers", ajoute Dominique Duperret, secrétaire général de l'Union des maisons françaises (UMF). N'hésitez pas non plus à demander au professionnel des photos de réalisations, des renseignements sur son ancienneté et la situation financière de son entreprise. Enfin, il est indispensable que le professionnel présente une assurance responsabilité civile. Bon à savoir : la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) répertorie 380.000 artisans du bâtiment sur son site, Capeb.fr

De nombreux sites Internet proposent également de vous envoyer gratuitement des devis d'artisans : Devispresto.comQuotatisfr,123devis.com... Prudence toutefois, sachez qu'il n'y a souvent aucun critère de sélection des entreprises.  

Enfin, pourquoi ne pas passer par un courtier en travaux, au moins pour disposer de repères tarifaires. Ce professionnel est censé vous trouver le meilleur rapport qualité / prix. Après avoir examiné l'ensemble des travaux à réaliser, le courtier contacte au moins deux entreprises. "Puis le courtier et son client étudient ensemble les devis", explique Nicolas Daumont, président de la Fédération française du courtage en travaux qui répertorie 103 adhérents sur son site Courtage-travaux-ffct.fr. Le courtage en travaux s'arrête à la signature de devis. Si vous souhaitez que le courtier vérifie l'état d'avancement des travaux, il vous en coûtera 10% du montant des travaux. A défaut, vous devrez passer idéalement une fois par jour sur le chantier pour vérifier son avancée. Et demander le cas échéant que soit refait un travail bâclé, avant qu'il ne soit trop tard ! Une fois les travaux effectués, reste à trouver le locataire parfait qui prendra soin de votre bien flambant neuf... ou presque !  


En savoir plus sur http://votreargent.lexpress.fr/immobilier/immobilier-ce-qu-il-faut-faire-en-2014-pour-gagner-de-l-argent_355707.html#pzoe9WpPxZgYQ5jp.99

5 janvier 2014

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5 janvier 2014

Une opération programmée d’amélioration de l’habitat va être lancée le 1er novembre, dans l’agglomération (la montagne 02/10/13)

Vichy

AUVERGNE > ALLIER > VICHY 02/10/13 - 06H00

Une opération programmée d’amélioration de l’habitat va être lancée le 1er novembre, dans l’agglo

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Si vous souhaitez rénover votre logement, des aides financières, sous conditions, sont proposées dans le cadre de l’Opah lancée par VVA à l’échelle de l’agglo.? - PHoto d’illustration

Si vous souhaitez rénover votre logement, des aides financières, sous conditions, sont proposées dans le cadre de l’Opah lancée par VVA à l’échelle de l’agglo.? - PHoto d’illustration

Inciter les propriétaires à rénover leurs logements. Tel est le but de l’Opah lancée cet automne à l’échelle de l’agglo. Avec des aides financières à la clef.

 

Parmi les bonnes résolutions de cette rentrée, vous vous êtes peut-être décidé à rafraîchir votre logement. Voire plus si affinités avec le banquier. Sans trop savoir par quoi commencer, ni combien ça va coûter.

Si tel est le cas, un petit conseil : avant d'entreprendre quoi que ce soit, téléphonez à Vichy Val d'Allier. On vous dira qu'une vaste opération programmée d'amélioration de l'habitat (OPAH) est sur le point d'être lancée à l'échelle de l'agglomération vichyssoise. Et que les propriétaires qui y souscriront pourront bénéficier, sous certaines conditions, d'un coup de pouce financier mais aussi d'une expertise technique gratuite. Quelques explications s'imposent.

C'est quoi une Opah ? C'est un dispositif associant l'Etat, l'Agence Nationale pour l'Amélioration de l'Habitat (ANAH) et une ou plusieurs collectivités locales. Il permet de mobiliser des aides financières en faveur des propriétaires privés désireux de rénover ou réhabiliter leur logement dans un périmètre donné.

Pourquoi inciter à renouveler le parc de logements privés ? Pour réduire le nombre de logements vacants, insalubres ou indignes, pour augmenter et diversifier l'offre en logements locatifs, pour améliorer les conditions de vie des personnes âgées et handicapées en les maintenant à leur domicile, pour diminuer la facture énergétique…

Pourquoi à l'échelle de l'agglo ? Parce que cela apparaît plus cohérent. L'Opah lancée cet automne est d'ailleurs la toute première application du Schéma de cohérence territoriale (Scot) adopté en juillet par Vichy-Val d'Allier. Jusque-là, ce type de programme incitatif n'avait été engagé qu'à Vichy et Bellerive, jamais dans aucune des 21 autres communes de l'agglo.

L'état des lieux dans l'agglo. Selon une étude commandée par VVA, le territoire de VVA abrite 45.000 logements privés dont 32.000 sur cinq communes (Vichy, Cusset, Bellerive, Abrest et Creuzier-le-Vieux). Au sein de ce parc, on recense 2.250 logements vacants depuis plus de trois ans et un millier de logements occupés considérés de mauvaise qualité. Autre chiffre parlant : l'agglomération compte 10.400 habitants de plus de 75 ans.

VVA estime qu'environ 4.500 propriétaires occupants seraient potentiellement éligibles aux aides de l'Opah.

Sur la table. Une enveloppe globale de six millions d'euros d'aides publiques sur cinq ans.

Qui peut prétendre aux aides ? Les propriétaires occupants aux revenus modestes (18.170 € par an pour une personne seule). Mais aussi les propriétaires bailleurs, sans conditions de ressources. Dans les deux cas, il faudra que le logement ait au moins 15 ans, que les travaux n'aient pas encore commencé et qu'ils soient réalisés par des professionnels. En contrepartie, le propriétaire devra respecter certains engagements. Au final, il pourra espérer bénéficier d'une aide allant de 35 à 50 % du montant des travaux, avec un plafond variable (*).

Accompagnement gratuit. L'Opah sur l'agglo prévoit d'accompagner gratuitement le porteur du projet de rénovation. Une fois en place, le service logement de VVA proposera d'établir un diagnostic du logement, donnera son avis sur les travaux à réaliser et aidera le candidat à monter le dossier.

Pour quels travaux ? Essentiellement des travaux d'intérieur, légers ou lourds. Mais aussi d'extérieur s'ils répondent à des besoins énergétiques et se situent en centre-ville.

Le calendrier. Ce programme d'aides entre en vigueur le 1 er novembre.

À qui s'adresser ? Au service logement de Vichy Val d'Allier (04.70.96.57.00. Celui-ci sera activé à compter du 1 er novembre.

(*) Voir le guide des aides sur le site internet de l'ANAH : www.anah.fr.

Jean-Pierre Ducros

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